L'écharpe porte-bébé
Comme le tikamac a transformé mon dos en rémoulade de chaton, j'ai décidé de passer à l'écharpe de portage, laquelle permet de porter en partie avec les hanches, ce qui est un soulagement.
Selon Haricot, le premier essai fut catastrophique. J'étais toute fière d'avoir réussi à la nouer du premier coup correctement, et lui, il n'a rien trouvé mieux que de oui-ouiner, parce qu'il se sentait mal à l'aise. J'avoue, je n'avais pas fait attention à ses bras, ils étaient coincés sous Babar. Bon, et j'avais peut-être un poil trop serré (histoire d'être sûre qu'il ne tomberait pas).
Forte de cette demie-victoire, j'ai réitéré cette semaine (fortement motivée par la sciatique qui m'interdisait le tikamac). Quel succès ! ah seigneur Vador, un nouveau monde s'ouvre à moi ! Quand Haricot s'est rendu compte qu'il pouvait jouer au périscope, tétouiller Babar à travers mon t-shirt ET roupiller sur Babar sans que je fasse mine de le coucher aussitôt, il a trouvé ça carrément génial !
J'avoue cependant que je ne suis pas encore une pro : l'autre jour dans le parking, j'ai lutté pour éviter qu'elle traine par terre (c'était mouillé), et je ne suis pas au point quand il s'agit de sortir le bébé sans le réveiller. Mais ça va venir ! ;)
Là, moi en pleine action, j'ai les mains libres pour me prendre en photo.
Ici, Haricot est trop content mais il ne sait pas qu'il va pioncer dans cinq minutes :
Par contre, soyons juste : on a beau avoir les mains libres, les activités sont limitées. C'est comme être gros bidon sans pouvoir se plier en deux du tout du tout : donc la vaisselle pas possible, plier le linge possible, PC possible, remplir la machine à laver pas possible... Et ça attire toujours autant les regards dans le patelin (on doit me prendre pour une extra terrestre ici !)
C'était syven, en direct de Lampaul ploudalmézeau où le beau temps est revenu. Hin hin hin.
Selon Haricot, le premier essai fut catastrophique. J'étais toute fière d'avoir réussi à la nouer du premier coup correctement, et lui, il n'a rien trouvé mieux que de oui-ouiner, parce qu'il se sentait mal à l'aise. J'avoue, je n'avais pas fait attention à ses bras, ils étaient coincés sous Babar. Bon, et j'avais peut-être un poil trop serré (histoire d'être sûre qu'il ne tomberait pas).
Forte de cette demie-victoire, j'ai réitéré cette semaine (fortement motivée par la sciatique qui m'interdisait le tikamac). Quel succès ! ah seigneur Vador, un nouveau monde s'ouvre à moi ! Quand Haricot s'est rendu compte qu'il pouvait jouer au périscope, tétouiller Babar à travers mon t-shirt ET roupiller sur Babar sans que je fasse mine de le coucher aussitôt, il a trouvé ça carrément génial !
J'avoue cependant que je ne suis pas encore une pro : l'autre jour dans le parking, j'ai lutté pour éviter qu'elle traine par terre (c'était mouillé), et je ne suis pas au point quand il s'agit de sortir le bébé sans le réveiller. Mais ça va venir ! ;)
Là, moi en pleine action, j'ai les mains libres pour me prendre en photo.
Ici, Haricot est trop content mais il ne sait pas qu'il va pioncer dans cinq minutes :Par contre, soyons juste : on a beau avoir les mains libres, les activités sont limitées. C'est comme être gros bidon sans pouvoir se plier en deux du tout du tout : donc la vaisselle pas possible, plier le linge possible, PC possible, remplir la machine à laver pas possible... Et ça attire toujours autant les regards dans le patelin (on doit me prendre pour une extra terrestre ici !)
C'était syven, en direct de Lampaul ploudalmézeau où le beau temps est revenu. Hin hin hin.