Damned, on est repérés
La maîtresse nous a repérés, le Haricot et moi.
Les sempiternels derniers à arriver*...
Le Haricot n'est pas joyeux-joyeux d'aller à l'école, surtout depuis qu'il a cantine le midi et garderie le soir, hauts lieux festifs scolaires où la marmaille révèle son potentiel sonore. Voyez, mon engeance n'apprécie pas le bruit (sauf quand c'est son piano qui en fait, ou son avion à réaction, ou tout ce qui produit un volume sonore maximal dans l'enceinte de notre maison). Rectification, Haricot n'aime pas que les autres fassent du bruit.
Cela le rend triste. Il insiste sur le "triste", avec un regard larmoyant, la tête renversée en arrière. Donc le matin, pour que nous sentions sa désapprobation, son père et moi, il nous fait le cirque. Déjà que ce n'est pas facile de le sortir de son lit (il y retourne ou se couche sur le canapé), mais en plus, il traîne ! Ou bien, il cavale, ce qui est nettement plus fatiguant.**
D'où la difficulté d'arriver à temps en classe. J'imagine que la maîtresse croit que je ne m'inquiète pas d'être à l'heure. Mais c'est faux! Je le proclame à la face du monde entier (au moins), je suis une mère consciencieuse qui s'arrache les cheveux pour arriver à l'heure !
Bouhouhouhou.
D'un autre côté, je ne peux pas non plus rejeter toute la faute sur le Haricot. J'ai un problème de failles spatio-temporelles du matin: la douche et le café. Je ne sais pas ce qui se passe, je déconnecte, je repasse en veille, surtout quand je touille le café. Ah le touillage de café, rien que d'y penser, j'en perds le fil de cet article. (* se relit *)
Nereij? Hum, il n'est pas du matin (il fait ce qu'il peut pour limiter les dégâts.)
Smoke? Smoke??? Il est du matin, mais genre, 3 heures du mat'. (Ce qui lui vaut un aller direct dans le cellier.)
Voilà. Life is a bitch, le matin, c'est le grand stress pour moi, et vivement les vacances cet été, que je me repose un peu...
* J'exagère un peu quand même, assurez-vous. Mais chaque matin est une petite lutte contre la montre.
** Haricot n'est pas un indiscipliné non plus, je caricature.
Les sempiternels derniers à arriver*...
Le Haricot n'est pas joyeux-joyeux d'aller à l'école, surtout depuis qu'il a cantine le midi et garderie le soir, hauts lieux festifs scolaires où la marmaille révèle son potentiel sonore. Voyez, mon engeance n'apprécie pas le bruit (sauf quand c'est son piano qui en fait, ou son avion à réaction, ou tout ce qui produit un volume sonore maximal dans l'enceinte de notre maison). Rectification, Haricot n'aime pas que les autres fassent du bruit.
Cela le rend triste. Il insiste sur le "triste", avec un regard larmoyant, la tête renversée en arrière. Donc le matin, pour que nous sentions sa désapprobation, son père et moi, il nous fait le cirque. Déjà que ce n'est pas facile de le sortir de son lit (il y retourne ou se couche sur le canapé), mais en plus, il traîne ! Ou bien, il cavale, ce qui est nettement plus fatiguant.**
D'où la difficulté d'arriver à temps en classe. J'imagine que la maîtresse croit que je ne m'inquiète pas d'être à l'heure. Mais c'est faux! Je le proclame à la face du monde entier (au moins), je suis une mère consciencieuse qui s'arrache les cheveux pour arriver à l'heure !
Bouhouhouhou.
D'un autre côté, je ne peux pas non plus rejeter toute la faute sur le Haricot. J'ai un problème de failles spatio-temporelles du matin: la douche et le café. Je ne sais pas ce qui se passe, je déconnecte, je repasse en veille, surtout quand je touille le café. Ah le touillage de café, rien que d'y penser, j'en perds le fil de cet article. (* se relit *)
Nereij? Hum, il n'est pas du matin (il fait ce qu'il peut pour limiter les dégâts.)
Smoke? Smoke??? Il est du matin, mais genre, 3 heures du mat'. (Ce qui lui vaut un aller direct dans le cellier.)
Voilà. Life is a bitch, le matin, c'est le grand stress pour moi, et vivement les vacances cet été, que je me repose un peu...
* J'exagère un peu quand même, assurez-vous. Mais chaque matin est une petite lutte contre la montre.
** Haricot n'est pas un indiscipliné non plus, je caricature.